Lecture d’un extrait du roman de Kamel Daoud (chap.26). En hommage à celles et ceux que les 10 années de guerre civile algérienne ont meurtris à jamais, lorsqu’ils ont survécu. Et dans l’attente que Boualem Sansal, dont le seul tort est de dire le vrai, soir libéré au plus vite.
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